Dans ce deuxième volet c’est avec Jules Falquet nous verrons quelles peuvent-être les conséquences socio-économiques de la mondialisation pour les femmes. La reproduction des inégalités sociales sont aujourd’hui liées aux politiques migratoires dans lesquelles les femmes occupent une place importante notamment dans les métiers du care (travaux domestiques, prise en charges quotidienne des personnes..). C’est aussi grâce à l’enquête de Miriam Glusksmann sur la chaîne de production mondialisé des plats cuisinés que nous verrons les formes modernes que peuvent prendre l’exploitation des femmes, des travailleurs pauvres, et des personnes immigrantes.
Comment les femmes de classes moyennes, de culture féministes, négocient-elles les conditions de travail et les rapports quelles entretiennent avec "leurs employées de maisons" ? C’est ce que Pascale Molinier cherche à comprendre dans son enquête sociologique. Quelles politiques la france a-t-elle adopté dans le domaine "des services à la personne" ? où en somme nous des choix de société vis à vis de la dépendance et de la vulnérabilité ?
Autant d’éléments développés par les journalistes du monde diplomatique qui montrent que les politiques actuelles en France favorisent une société qui entretient les inégalités en renforcent l’idée qu’il y a des gens supérieurs dont le temps est plus précieux et qui sont donc bien rémunérés et puis une autre partie de la population qui est contraint aux rôles de serviteurs.